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Nakaoundé M'Bow - Chasseuse

Nakaoundé M'Bow
◈ Missives : 101

◈ Âge du Personnage : 28 ans
◈ Alignement : Chaotique Bon
◈ Race : Valduris
◈ Ethnie : Sharda du Sud
◈ Origine : Radjyn / Saan Met
◈ Localisation sur Rëa : Ordanie
◈ Lié : Attalë
◈ Fiche personnage : Ici
◈ Crédit Avatar : Black Butterfly by Selenada

Réceptacle
Nakaoundé M'Bow

◈ Mer 22 Avr 2015 - 11:40


   ◈ Prénom : Nakaoundé
   ◈ Nom : M'Bow
   ◈ Sexe : Femme
   ◈ Âge : 27 ans
   ◈ Date de naissance : 16 Auldera de l'an 63 de notre ère
   ◈ Race : Valduris
   ◈ Ethnie : Sharda du Sud
   ◈ Origine : Radjyn / Saan Met
   ◈ Alignement : Chaotique Bon
   ◈ Métier : Vigie du village, chasseuse, désormais voyageuse
   

   

   
Magie

   

   Aucune
   


   
Compétences, forces & faiblesses

   

> Arts de l’ombre
(Métier engagé : Vigie, Chasseresse)
- Discrétion (déplacement silencieux, furtivité : maître)
= Nakaoundé est l'une des rares a avoir voulu pratiquer le rituel destiné aux garçons. Sa vocation de chasseresse était née. Elle savait comment se mouvoir en silence, se mettre face au vent et a appris avec le temps bien plus de subtilités.
- Escalade (avancé)
= Escalader de grands arbres ou des parois ne fait aucunement peur à l'ancienne vigie.
- Détection de pièges (intermédiaire)
= En tant que chasseresse, elle a appris à poser des pièges et donc, nécessairement, à reconnaître ceux qui n'étaient pas siens. Elle saurait également détecter les traces d'un piège à humain.
- Traque (surveillance, enquête, pistage : avancé)
= En tant que Vigie, elle a appris à surveiller ses zones de garde, à reconnaître et pister des traces humaines qui pouvaient sembler louches.

> Compétences libres
- Folklore (Saan Met : expert)
- Religion (Sharda du Sud : avancé)
= Baignée depuis l'enfance dans les croyances des Sharda du Sud, Nakaoundé connaît tous les rites religieux ou les us et coutumes de son royaume.
- Survie en milieu sauvage (Saan Met : expert)
= Nakaoudé est une chasseresse. Elle sait survivre en nature hostile car la chasse peut s'étirer sur des jours, des semaines.
- Pistage de la faune (expert)
= Dès son enfance, Nakaoudé a montré de grandes prédispositions au pistage et à la chasse et preuve étant : elle est l'une des très rares femmes a avoir pratiqué le rituel d'entrée à l'âge adulte destiné aux hommes !
- Maniement d'armes communes (lance : avancé)
- Bagarre de rue (intermédiaire)
= Car elle est considérée comme un garçon, ou presque, vis-à-vis de son rite de passage masculin à l'âge adulte, Nakaoundé a été formée par de grands guerriers de son clan au maniement de la lance. Elle a également appris de bonnes bases du combat à mains nues sans qu'il ne s'agisse d'école martiale particulière. Ses techniques de combat viennent toutes de la chasse et de la lutte avec certains animaux de la savane. Elle se débrouille mieux en attaque qu'en défense.
- Connaissance de la flore & de la faune (Saan Met : avancé)
= Comme tout Sharda du Sud, Nakaoundé a appris à vivre et à survivre. Qu'il s'agisse de contrées plus sèches ou au contraire verdoyantes, elle sait y évoluer avec aise.
- Intimidation (intermédiaire)
= De par son aura impassible et son côté taciturne, elle impressionne parfois les autres gens

   

Points forts

- Sait être calme en toute situation
- Empathique
- A de très bons yeux
- Court vite

   

Points faibles

- Souvent trop fière
- Tête brûlée
- Claustrophobe (mais ne le sait pas encore)
   


   
Physique

   

   Nakaoundé est une grande femme au vu des Valduris et qui se tient très souvent droite. Des pieds à la tête, son corps mesure 5'8 pieds. Déjà enfant elle faisait partie des plus grands. En plus de sa haute taille, c'est une chasseuse élancée dont les longs membres sont parcourus de muscles fins mais costauds, saillants lorsqu'ils sont en action. Toute sa peau est foncée, même ses lèvres, l'intérieur de ses mains et de ses pieds. Nue, elle arbore ainsi une teinte unie ; seuls ses yeux, sa pilosité et ses grains de beauté sont plus sombres. Ses seuls grains de beauté sont tous alignés sur sa colonne vertébrale, à intervalles irréguliers. Cette discordance dans un alignement parfait conforte sa tribu dans la pensée que Nakaoundé a quelque chose de mauvais qui la poursuit. La seule autre trace que porte son corps et une griffure de léopard cicatrisée sur l'avant de son épaule droite et de sa poitrine.
Elle maintient toujours sa chevelure à l'arrière de sa tête, pour garder son champ de vision toujours libre et ouvert et elle ne descend pas plus bas que la base du cou. Nakaoundé a longtemps eu de fines nattes, tressées à même le crâne mais désormais, elle se tresse elle-même grossièrement l'avant du crâne et laisse le reste de ses cheveux libres. Jamais elle n'a mis d'apparats dans ses cheveux, afin de ne pas se faire entendre dans ses déplacements de chasseuse.
Étant habituée à surveiller le bétail ou à chasser seule, sa langue n'a jamais vraiment eu à parler fréquemment et son visage aborde plus un air impassible qu'un air chaleureux.
   


   
Caractère

   

   Enfant, Nakaoundé était une fille hyperactive, qui courait le plus qu'elle pouvait et avait du mal à rester sur place sans rien faire. En grandissant, son tempérament s'est beaucoup calmé, mais elle a gardé l'habitude - le besoin, presque - d'être dehors, de marcher, de regarder tout autour de soi, de courir, de pourchasser, ce qui en fit une chasseuse et une vigie quasi infatigable. Elle ne dort en effet que peu. Maintenant, elle sait être immobile et attendre, mais elle sera toujours en train de regarder l'horizon, à l’affut de tout ce qui l'entoure. Cette attention permanente ajoutée au fait qu'elle était seule en chasse l'a fait devenir une adulte généralement impassible et stoïque, lui procurant une aura quelque peu intimidante pour certains. Son visage taciturne semble donc dur aux premiers abords, mais il n'en est rien lorsqu'on la connait un peu plus.
Quand elle parle, sa voix est douce et calme, à l'image de son comportement plus mature et serein. Envers les aînés et les enfants, elle est respectueuse et affectueuse mais peu bavarde voire un peu solitaire envers tout le monde, même sa communauté. Elle n'est pas du genre à engager une conversation d'elle-même, mais racontez-lui des récits et elle vous écoutera toute la nuit.
Elle n'a jamais cherché querelle à personne, mais elle aurait apprécié être une petite lionne qui se serait bagarrée avec ses frères et sœurs pour s'amuser. Le combat - ou plutôt, mettre quelqu'un à terre - est un de ses plus grands plaisirs mais elle différencie distinctement le jeu et le sérieux. Elle remercie toujours son combattant, surtout les animaux qu'elle a chassés.
Nakaoundé n'est pas très spirituelle. En tant que Sharda, les ancêtres et les croyances animistes sont fortes pour elle, mais elle n'a pas grande communion avec les esprits. Elle se sent plutôt liée avec la nature et les animaux vivants.
   


   
Inventaire

   

   Nakaoundé est une personne simple : elle ne porte ni bijoux, ni tatouages ou marques spirituelles ou ethniques, se détachant des autres femmes de sa tribu. Cependant, on la voit toujours avec sa lance à la main, lance aussi haute qu'elle. C'est une arme qu'elle a confectionné elle-même, avec l'ancien bâton de sa mère et une pierre qu'elle avait trouvée et taillée. En dessous du laçage entre la pierre et le bâton, elle a gravé sur le bois le petit léopard qu'elle a combattu lors de ses 11 ans pour en récupérer la force, l'agilité et la vitesse.
Elle habille son corps d'un bustier lacé sur ses côtés et d'épaulettes en cuir, ces trois pièces étant élaboré avec deux couches de cuir superposées, et d'un tissu noué autour de son bassin, protégé lui aussi par une large bande de cuir lacée. Elle marche toujours pieds nus, mais elle porte des sandales lorsqu'elle se trouve en ville.
   


   
Histoire

   

   C'est à l'âge de 4 ans que Nakaoundé apprit que, contrairement aux autres enfants, elle n'avait pas de papa ni de maman, que cela arrivait parfois, mais qu'il ne fallait pas qu'elle soit triste car elle était entourée. C'était, du coup, son oncle et sa tante, sœur de sa mère, qui le lui dirent après une journée dans les champs. La petite fille accepta ce fait avec un pincement au cœur... Alors comme ça, il y avait deux êtres qui auraient dû être là pour elle, remplis d'amour mais ils ne l'étaient pas. C'était plus un regret qu'une tristesse, vu qu'elle recevait ce qui lui semblait être de l'amour de la part du reste de sa famille. Les années passèrent, sans qu'elle devienne cependant une vraie sœur pour ses cousin(e)s. Ses parents substitutifs attendirent qu'elle s'approche de son passage à l'âge adulte pour lui dire toute la vérité, considérant qu'elle était assez grande pour savoir et supporter.
De nombreuses lunes auparavant, tandis que celle d'Auldera était dans le ciel, sa mère accouchait dans sa case, silencieusement, entourée de ses sœurs. Les hommes ne sont pas acceptés à l'intérieur pendant ce genre d'événement, pas même le père. Celui-ci put entrer voir sa femme et son enfant au moment même où les rayons du soleil entraient dans l'atmosphère. Les sœurs décidèrent de laisser les nouveaux parents seuls, le père étant aux anges, mais à peine quelques pas plus tard, les femmes entendirent Mema, la mère de Nakaoundé, crier. Elles firent toutes demi-tour et hurlèrent à leur tour quand elle virent que le père avait planté une dague dans le cœur de Mema, les yeux en feu, le souffle bruyant et le bébé porté par un bras. Il se retourna vers ses belles-sœurs, choquées, et son regard devint celui d'un fautif rempli de regrets et de tristesse. Deux d'entre elles étaient parties prévenir les autres et chercher de l'aide, mais le temps qu'elles reviennent, le géniteur s'était suicidé avec la même dague, sans que celles restées présentes n'aient eu le temps de réagir, laissant la progéniture orpheline et le village circonspect. Les habitants tentèrent d'expliquer son suicide par le repentir ou l'auto-punissement d'avoir tué la mère de son enfant, mais personne ne comprenait pourquoi ce geste. C'était sa première femme et sa première descendance. Il venait d'une autre tribu, peut-être ses coutumes prédisaient mauvais présage à ceux qui n'avait pas de fils comme premier enfant, peut-être avait-il eu une prophétie, peut-être était-il juste fou. Personne ne put jamais savoir. Une de ses tantes lui confirma que Nakaoundé était le prénom qu'avait choisi sa mère pour elle si c'était une fille.
Elle avait toujours du mal à s'attrister pour des gens qu'elle n'avait jamais connus, mais cette fois elle se mit à en vouloir à son père. Cela ne lui posa pas de problèmes dans son développement personnel, ni dans sa confiance envers les autres, mais le reste du village, même sa famille, ne pouvait s'empêcher de voir en elle une personne pouvant apporter le malheur. Il y avait quand même de l'amour entre l'enfant et les autres, mais Nakaoundé sentait que si elle partait jouer ou courir seule, elle ne manquait pas aux autres.
Et très vite, elle se rendit compte qu'elle préférait elle aussi être de son côté. Elle avait la nature pour elle toute seule tant qu'elle restait à portée de vue des vigies et sentait dans cette faune et flore que rien ne la rejetait ni ne la jugeait. Elle pouvait être entièrement elle-même : une petite fille hyperactive qui jouait au prédateur avec les insectes.

A ses 8 ans, un érudit passa quelques jours dans leur communauté. C'était la première fois que la petite Nakaoundé rencontrait un étranger venu de très loin, d'au delà la bordure de l'océan, et elle avait mille étoiles dans les yeux. Dès qu'il arriva, après un moment de timidité, elle rejoignit les autres autour de lui et ne le lâcha plus le temps de son séjour. C'était la première fois qu'on lui racontait l'existence de nombreuses terres derrière le bleu de l'eau et de tous les peuples qui les habitaient. Elle fut particulièrement émerveillée par l'histoire et les coutumes des Villileär. Elle se sentait très proche d'eux par leurs croyances et leur mode de vie et elle n'en revenait pas : il existait quelque part des êtres vivant des centaines d'années mais d'apparence jeune, avec la peau et les cheveux blancs et vivant dans un lieu où il y avait des centaines de milliers d'arbres ?! Si le vieux sage les avait vu, alors elle irait les voir aussi. C'est là qu'elle découvrit son but dans la vie : trouver, voir de ses propres yeux les Villileär et s'intégrer à eux, pour un moment ou jusqu'à sa mort.

A ses 11 ans, elle exécuta comme tout Sharda le rituel de passage à l'âge adulte. Dès qu'elle avait appris pour ce rituel, la fille sans mère avait hâte de pouvoir peut-être parler à celle qui l'avait amenée au monde et que le destin l'avait empêchée de connaître. Elle avait envie d'être un garçon à ce moment-là pour elle aussi partir chasser une bête, pour l'affronter, mais elle se réjouissait d'avance de sa future entrevue avec ses ancêtres. Cependant, cela ne se passa pas comme ses attentes : Nakaoundé eut beaucoup de mal à se connecter à eux. C'est à peine si elle crut entrevoir trois vieilles silhouettes. En tout cas, rien qui ne ressemblait à une jeune maman. De tous les enfants de 11 ans cette année-là, elle était la seule à avoir aussi mal réussi. Aussi, pendant que le village chantait et dansait pour célébrer tous les rites, elle s'éloigna de nouveau des autres. Elle s'assit repliée sur elle-même contre le mur d'une case et pleura à chaudes larmes pour la première fois sa mère disparue.
Le lendemain, sa conviction était plus forte que tout : elle effectuerait le rituel des garçons. Torse nu, un poignard coincé entre sa peau et son bas, elle partit sans prévenir dans la savane chercher l'animal qui l'honorerait d'un affrontement. Elle trouva un troupeau d'antilopes, l'un des animaux avait l'air vieux, un prédateur ne tarderait pas... Elle scruta les herbes jusqu'à trouver le prédateur qu'elle attendait. Ce serait donc un léopard qu'elle affronterait. Elle se servit d'abord de ses talents de discrétion déjà hautement développés pour s'approcher sans le faire fuir. Elle eut de la chance, c'était un jeune léopard, pas entièrement expérimenté et plus faible que les adultes. Elle attendit qu'il attaque sa proie pour qu'il se fatigue et qu'il soit préoccupé en se nourrissant pour encore plus se rapprocher. Il l'entendit tout de même et fuit à quelques centaines de mètres. Elle ne le poursuivit pas, elle se cacha ailleurs et attendit qu'il revienne manger. La manigance reprit plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle soit assez proche pour que cette fois, le léopard la vit vraiment et préfère grogner pour l'éloigner plutôt que courir. Elle ne fuit pas, le regardait droit dans les pupilles, des gouttes de sueur perlant sur son corps à force d'avoir patienté sous le zénith. Le léopard aussi était fatigué d'avoir couru plusieurs fois de suite. Il ne grogna pas longtemps et s'attaqua finalement à sa menace. Elle fit tout pour tenir loin d'elle sa mâchoire et ses griffes, mais la bête était plus lourde qu'elle. Elle s'aida d'un gros bâton qu'elle eut le temps de ramasser pour la tenir à distance (d'où elle tirera plus tard l'idée de se fabriquer un lance). L'animal réussit à la griffer sur l'avant de son épaule droite, avant qu'elle n'ait pu lui cogner la tête avec l'épais morceau de bois. Elle ne l'avait pas assommé, juste sonné. Elle prit le poignard dans sa main et s'empressa de couper un bout d'oreille avant de repartir au plus vite. Quand elle rentra ensanglantée au village, les premiers qui l'aperçurent accoururent vers elle. La nouvelle adulte de 11 ans présentait fièrement son trophée dans sa paume ouverte, fatiguée et endurcie à la fois, et tout le monde comprit ce qu'elle venait d'accomplir.

De son entrée à l'âge adulte jusqu'à ses 26 ans, elle aida son village à la chasse, à la maigre agriculture, à l'élevage et à la vigie. Grâce à la bravoure qu'elle avait démontré, une poignée de chasseurs et guerriers du village la prirent sous leurs ailes pour lui apprendre quelques techniques de combat. C'est ainsi qu'elle s'améliora à l'usage de la lance et au combat au corps-à-corps. Avec leur aide, elle développa ses talents de chasse, de combat et de filature animale jusqu'à devenir une chasseuse émérite parmi les siens. Cette reconnaissance lui conféra plus de respect et d'admiration de la part de sa famille, mais la distance affective ne s'amenuisa pas. Elle partageait peu de moments avec les adultes et préférait jouer avec les enfants dans son temps libre, comme avec les frères et sœurs qu'elle n'aurait jamais eus. Elle s'entendait bien avec eux, car ils étaient beaucoup plus joueurs que ceux qui avaient grandi avec elle et n'étaient pas forcément au courant de son histoire familiale.
Lorsqu'elle n'était ni en activité, ni en compagnie, Nakaoundé se rendait sous un baobab qui surplombait leur contrée. Protégée par ses hautes branches et son épais tronc, elle scrutait l'horizon, attendant qu'un autre itinérant arrive. Elle ne se sentait pas de partir seule, mais cela l'obligeait à attendre un évènement qui prit malheureusement une quinzaine d'années.
Elle restait le moins possible dans sa case, lieu où ses parents étaient morts. Sa famille l'avait hébergée toute son enfance, mais c'est de sa propre volonté qu'à 15 ans elle retourna habiter seule dans la maison des M'Bow. Dans cette étroite demeure, elle n'appréciait que le fait de dormir là où elle avait été conçue. Elle s'imaginait parfois sa mère veillant sur elle pendant son sommeil. Ça lui permettait aussi de ne plus avoir à subir chaque soir le regard de ses proches. Nakaoundé ne réfléchit jamais si c'était parce que les autres la sentaient maudite qu'elle était devenue solitaire ou si elle avait profité de ce rejet pour être tranquillement seule.

Puis enfin, le mois dernier, en Merä 89, passa un nouvel itinérant, lui aussi érudit. Il était sur son chemin de Dehernatbi vers Syltamir. L'heure de partir pour Nakaoundé était venue. Cette fois-ci, elle était assez âgée, personne du village ne la retenait, elle n'était pas la seule chasseuse du village aussi sa présence ne manquerait pas. Elle était libre de partir sur sa propre voie et de partir à la rencontre des Villileär...
   


   
Ambitions & Desseins

   

   Si vous avez lu l'histoire, vous avez donc compris que le but qui guide Nakaoundé dans sa vie est celui de rencontrer et de peut-être s'intégrer aux Villileär, peuple dont elle se sent proche et qui la fait rêver depuis petite. Il y a quelques semaines, elle a enfin quitté son village pour accompagner un itinérant jusqu'à Syltamir et trouvera son chemin au fur et à mesure pour atteindre Saatvar. Peut-être reviendra-t-elle dans son village d'origine pour conter ses histoires, peut-être se sentira-t-elle plus parmi les siens ailleurs... Elle ne le sait pas encore mais ne craint pas son avenir.
Dessein mis à part, Nakaoundé étant asexuelle, voire aromantique, trouver chaussure à son pied n'est pas dans ses préoccupations. Ainsi, vu que les hommes de la tribu préférait se marier avec d'autres pour éviter de devenir fou à leur premier enfant né, elle n'a jamais vraiment été courtisé et cela ne l'a absolument pas gêné, au contraire.
   



   
Divers

   

   Reconnaissez-vous être âgé de 18 ans ? : Depuis cinq ans au moins
   Si vous prenez un personnage important et que vous disparaissez, nous autorisez-vous à nous inspirer de votre personnage pour créer un nouveau prédéfini ? : Plutôt non
   Moultipass : Ok par Baltou

   Il est vraiment beau et bien construit ce forum/univers. Ça va être bien d'y jouer ! Nakaoundé M'Bow - Chasseuse 988548601
   


   
Calim Al'Azran
◈ Missives : 2342

◈ Âge du Personnage : 82 ans
◈ Alignement : Loyal Bon
◈ Race : Valduris
◈ Ethnie : Sharda du Nord
◈ Origine : Al'Akhab - Siltamyr
◈ Magie : Aucune
◈ Fiche personnage : Calim
◈ Crédit Avatar : Old man with a cane By Igor Babailov

Conteur
Calim Al'Azran

◈ Ven 1 Mai 2015 - 16:03

Te voici enfin validée chère Nakaoundé !
Je regrette le manque d'épique de ta fiche qui aurait pu être plus forte et puissante, mais après tout le développement in RP est fait pour cela et ta fiche présente correctement le personnage Wink.

Je te souhaite donc la bienvenue parmi les héros d'Azzura !

N'oublie pas de créer ton Journal de Bord et n'hésite pas à faire une demande de RP pour trouver des compagnons de route pour tes premiers rp !