L'histoire est libre elle aussi. Cependant, quelques éléments doivent être pris en compte ; Muelkkar est un enfant pauvre d'Al'Akhab jusqu'à ses quinze ans, avant de devoir s'exiler dans le désert à cause d'un vol qui a viré au meurtre. Il sera recueilli par le clan Al Zhiwa après ses déboires, et deviendra par la suite un membre très respecté du groupe de bandits.
   

Tarek est issu d'une grande famille et fils d'un marchand de tapis. Il n'avait rien d'exceptionnel, c'était un enfant turbulent, fripon, qui adorait sa mère et se faisait malmener par son père lorsque celui-ci dilapidait ses économies dans la boisson. Son passe-temps favori était de se faire beau, draguer les jolies filles de son quartier et dire à sa mère qu'elle était belle et la plus fabuleuse de toutes les femmes sur cette terre. Il avait un visage de vagabond, mais un regard si malicieux qu'il était difficile de lui refuser quoique ce soit. Il était un bon garçon, mais trop fainéant pour devenir un jeune homme accompli pour reprendre l'entreprise de son père et il s'en moquait bien, car ses frères seraient bien plus doués pour cela.
A l'adolescence, il commença à fréquenter les « mauvaises » personnes qu'il trouvait « parfaites » et commença sa carrière dans les petits délits, puis dans des méfaits plus important jusqu'à croiser la route des Infidèles et de leur chef, Sephalar Al Zhiwa. Ils furent sa nouvelle famille et il prétexta à sa mère qu'il faisait fortune ailleurs. Depuis, lorsque l'occasion se présente, il retourne les voir pour leur offrir des cadeaux qu'il aura volés à un marchand ou à de pauvres voyageurs et il le fait sans le moindre scrupule.
A côté de cela, il pût se lier d'amitié avec  Farid le trouillard, Nassim le trublion, Nekhab, le taciturne, Boukhouwa, le costaud. Un peu avant la fin de 89, ère des Rois, il fit la rencontre de Naïsha, un petit bout de femme aux yeux remplis de haine qui ne demandait qu'à renaître chez les Infidèles. Tous deux s'apprécient et peuvent passer des heures à parler de tout et de rien. Une bonne complicité passe entre eux, mais Naïsha est loin de se douter que Tarek connaît sa petite sœur. Du moins, il la croise lorsqu'il retourne voir sa mère en ville. Elle se prénomme Zayane, c'est une petite couturière le jour et chanteuse la nuit dans un salon de thé. Tarek aime l'écouter chanter et la trouve assez attirante, mais la belle lui résiste et cela l'amuse.

Zaza avait 7 ans lorsque son père mourut devant le seuil de leur maison, assassiné par les gardes. Par la suite, c'est leur mère qui dû se donner corps et âme pour faire vivre ses cinq enfants. Le plus souvent c'est Naïsha qui s'occupait de ses frères et sœurs en leurs contant des histoires, qui déplaisaient à leur mère. Celle-ci les jugeait trop fantaisistes et révolutionnaires. Elle craignait simplement que la garde ne revienne pour décapiter ses petits à cause de quelques histoires enfantines. Zaza fut également témoin de disputes entre sa mère et sa sœur, Naïsha. Cette dernière fut une épaule réconfortante pour la jeune fille au fort caractère et passait pour la petite fille parfaite aux yeux de sa mère.

Vers ses quatorze ou quinze ans, Zaza apprit à coudre avec sa mère. Elle finit par épouser, après le mariage de sa sœur, un honnête mais fragile marchand qui perdit la vie suite à de fortes chaleurs, lors d'un été infernal, et à la sécheresse qui en résultait. Zaza fut remariée, jurant qu'elle était encore vierge puisqu'elle n'avait pas eu d'enfants (le marchand était en vérité stérile). Les femmes chargées de vérifier les dire de la jeune fille, furent "achetées" afin de confirmer la prétendue innocence de la jeune femme.

Quelques mois plus tard la jeune femme apprit la disparition de sa sœur Naïsha et la rumeur qui courrait sur elle. Afin d'échapper à celle-ci, la mère et la fille, ainsi que ses plus jeunes enfants partirent dans un autre village, malgré les difficultés que cela aurait engendré. Partir de rien était parfois plus simple que d'affronter chaque jour le regard des autres. Naïsha avait déshonoré sa famille et lui portait de fait, un très grand préjudice.

Un an plus tard, dans cette ville modeste d'Al'Akhab, Zayane se mariait avec un marchand de tissus. Elle devenait ainsi sa quatrième épouse. La belle aux doigts de fée l'avait bien choisi. Grâce à lui, elle aurait probablement une chance d'ouvrir son propre commerce de taille. Sur le plan sentimental, en revanche, c'était le calme plat. L'homme avait prit une nouvelle épouse, plus jeune, pour retrouver sa fougue d'autrefois. Néanmoins, l'engin ne pouvait suivre et moins encore le cœur du vieux bougre, trop gras pour des prouesses intimes. Afin de ne pas tomber enceinte tout de suite et pour pouvoir faire sa propre renommée dans le commerce textile, Zayane prenait en cachette des substances pour ne pas tomber enceinte. Elle pouvait de plus jouer la comédie auprès de son nouvel époux en affirmant qu'elle était attristée de ne pas voir son ventre s'arrondir et, pour lui remonter le moral, l'homme honteux de ne pouvoir lui apporter ce plaisir, cédait à tous ses caprices. L’intelligente jeune femme s'arrangeait toujours pour que cela ait l'air nécessaire et non superflu. Ainsi, personne ne pouvait se douter de la toile ambitieuse qu'elle était en train de tisser. C'est de cette façon que son époux fit l'acquisition d'un petit édifice et mis ses moyens en oeuvre pour le transformer en salon de thé où zayane put se mettre à chanter les lancinantes complaintes d'Al'Akhab, le soir au son des ouds et lorsqu'elle désirait s'évader et démontrer ses talents.

Un jour, un jeune homme charmeur frappa à sa porte pour lui demander si elle n'avait pas quelques œufs. Il se prénommait Tarek et, à la manière d'un bon voisin, venait demander si elle pouvait dépanner sa mère, la voisine. A partir de ce jour, Zaza ne cessa de faire des rêves plus ou moins ardents de cet homme et pourtant, elle se plaisait à repousser ses avances lorsqu'il osait montrer le bout de son nez.

• Très tôt, alors que les filles et garçons de son âge, jouaient aux jeux de l’enfance, elle, fut initiée aux armes. Son frère et surtout ses géniteurs désiraient qu'elle sache se défendre, dans ce monde où certaines cultures, voient leur femme servir qu’à enfanter. Ils firent donc venir le meilleur stratège guerrier pour lui enseigner son art. Il disciplina son esprit, son corps et sa vivacité.
• Tandis qu’elle n’avait qu’à peine 15 ans, pour ses valeurs, pour sa force de caractère et ses talents martiaux, la matriarche des scorpions d’airain, une troupe de guerrières d’élites, la désigna pour hériter de son flambeau.
• A 17 ans, la matriarche mourut. Alors qu’elle fut propulsée chef des scorpions d’airain, les plus vindicte à sa gouvernance l’affrontèrent une à une, pour la destituer et prendre sa place. En vain, elle était certes jeune mais elle restait une guerrière d’élite et une stratège avant tout. Voyant que ses talents n’avait rien d’illusoire, les discordantes finirent par l’accepter comme meneuse. Tolérée, Durahlia transforma même l’essence des scorpions d’airain. L’escouade, qui se cantonnait qu’à Dehernatbi, étendit son influence sur tout Saan met.
• Après deux années de loyaux services, les scorpions d’airain, combattantes pour la paix et la protection des innocents, furent reconnus. Leur réputation les précédent, elles étalèrent leur service sur la protection des émissaires venant à Dehernatbi, pour faire un pacte de non-agression.
• Akilah, le mois suivant où les ordhalerons prirent d’assaut Al’Akhab, donna comme titre d’ambassadrice à sa très chère sœur. Malgré qu’elle ait un fils de 4 ans, elle obtempéra. Elle et une partie de son escouade partirent en Ordanie afin d’exprimer les vœux de paix de son frère.

C'est là que la lecture vous attends car plusieurs post doivent être lus pour comprendre ce personnage.

Une fois votre lecture  terminée, je rajouterai que même si son enfance à déjà été décrite dans la fiche d'Héléna Walkrain, tous les passages flous ou inexistants ( comme son enfance avant d'arriver avec les artistes, son adolescence qui manque pour l'instant de détails, ses années de service chez Frambourg et sa vie maintenant qu'elle recherche ses origines en Saan Met ) son totalement libres. Vous pouvez écrire ce que vous voulez avec ces périodes tant que vous êtes raccord avec la partie de son histoire qui est déjà écrite !