◈ Missives : 9
◈ Âge du Personnage : 293 ans
◈ Alignement : Loyal Bon
◈ Race : Ordhaleron
◈ Ethnie : Caprinordia
◈ Origine : Sunaï
◈ Fiche personnage : Vitélius
◈ Âge du Personnage : 293 ans
◈ Alignement : Loyal Bon
◈ Race : Ordhaleron
◈ Ethnie : Caprinordia
◈ Origine : Sunaï
◈ Fiche personnage : Vitélius
Héros
Vitélius Pertresus
◈ Mar 26 Avr 2016 - 20:10
Magie Aucune. Compétences, forces & faiblesses > Arts des Sages (Métier engagé : Érudit, tuteur) - Lecture & écriture (maître) - Histoire de l'Art (maître) - Histoire (Eleär de l'Aube et du Crépuscule) : Maître - Archéologie (Eleär de l'Aube et du Crépuscule : maître) - Architecture (Eleär de l'Aube et du Crépuscule : maître) - Histoire (Générale : expert) = La pédagogie de la créature s'est alliée à ses connaissances parfaites de nombreux domaines à propos de l'art ainsi que deux peuplades particulières et ce, depuis plusieurs décennies. Il rechigne pourtant à cette maîtrise qu'on lui offre car il considère qu'on apprend toute sa vie et que de nombreuses choses lui sont encore inconnues aujourd'hui. Pour autant, à force de rabacher sans cesse et toutes les années ce qu'il sait, il les connaît à coeur, il maîtrise de nombreux sujets de l'Histoire telle qu'elle est. > Compétences générales - Folklore (Eleär de l'Aube et du Crépuscule, Ordhaleron : expert) = Par vie ou par passion, il connaît le comportement de ses pairs, des codes de leurs régions reculées ou des plus inaccessibles mœurs. - Linguistique : Kaerd, Gordhien / Maître, Nimeriin et Demeri / Maître uniquement en lecture et à l'écrit = Il ne peut pas parler ces deux dernières langues à cause de la forme de son palais, à sa plus grande tristesse. Il s'image pourtant mentalement chacun des mots et du vocable qu'il maîtrise en su, à la perfection. - Éloquence (avancé) = Calme et diplomate, l'homme sait se faire écouter et convaincre son entourage de ses récits. Il peut toutefois s'énerver et bêler, s'il est contrarié. - Artisanat (restauration d'objets d'art anciens : expert) = Ses mains âgées sont habiles et, par passion, il saura entretenir et faire revivre, par les savoirs qu'il aura acquis sa vie durant en matière de matériaux et de techniques picturales ou de rénovation de la pierre, de la toile et du bois, les objets les plus altérés pour leur rendre une seconde vie. Forces Ses connaissances précises sur l’Histoire, l’architecture, les mystères, l’Histoire de l’Art, et l’Art Eleär de l’Aube et du Crépuscule. Son réseau de connaissances dans les hautes sphères de Sunaï et sa diplomatie. Son intelligence Sa force naturelle : il peut porter des charges lourdes, ce qui peut se révéler utile pour un archéologue et chercheur devant déplacer de lourdes charges, ramener des sculptures de taille raisonnable, etc. Sa bonté naturelle Son adresse manuelle (restaurateur d’objets fins des arts Eleär, archéologue, il est fort heureux qu’il soit loin d’être maladroit) Faiblesses Son inimitié pour la Légion. Ses sabots qui l’empêchent de porter des soulier et glissent souvent sur les marches d’escalier, les pavés des rues et toute surface autre que terreuse (il a déjà souvent cassé des objets de grande valeur en tombant dans les rues dallées de Frayh). Son incapacité à se défendre s’il se trouvait face à des gens malintentionnés. Sa propension à se mettre en colère contre ses étudiants ou ses collègues chercheurs lorsqu’une erreur est commise ou lorsqu’il est persuadé d’avoir raison. Un bêlement incontrôlé qui trahit ses émotions fortes lorsque cela survient. Sa bonté naturelle (et oui, c’est aussi une grande faiblesse de ne point voir le mal arriver) Langues Kaerd, Gordhien, compétences affirmées en écriture Nimeriin et Demeri (n’en parle pas un mot mais sait le lire et le traduire ; la forme de son palais de crudivore ne lui permet pas de prononcer correctement les mots). Physique Au coeur d’un monde sans pitié, se trouve un petit havre de paix nommé Sunaï. L’on vous chante ses terres dévastées, les caprices de ces contrées… Pourtant, vous êtes-vous déjà posé la question à propos de leurs anciens habitants ? Les Eleär - pauvres d’eux - ont-ils vraiment pu vivre sur des landes aussi désolées ? Hum ? L’erreur est basique et presque volontaire de la part de ses autochtones car, par endroits, cette île est pleine de forêts, d’une faune riche, d’une flore impressionnante et emplie de ruines extraordinaires qui donnent le sourire et gonflent les joues déjà bien grasses de notre petit personnage dès lors que ses jambes velues et ses sabots caprins viennent à en gravir les marches… Très souvent pour dégringoler jusqu’au bas des portes où se trouvent quelques merveilles dissimulées. “Monsieur ! Vous ne vous êtes pas fait mal ?” Le petit Ordhaleron aux cornes de bouc et au faciès bonhomme et joyeux, rougit par l’effort - ou par un abus de vin ? - releva ses manches larges et frotta son gros derrière d’une main ferme en chouinant. “Si… Mais plus important ce qui se trouve derrière cette porte de pierre… Comment allons-nous ouvrir ça ?” Les élèves restèrent cois, scrutant les pupilles horizontales, un peu rectangulaires et ovales à leur bord de leur tuteur, au coeur d’un iris aux nuances orangées. Ils ne voulaient pas regarder plus bas, car sa robe d’érudit était relevée... Tous s’attardèrent donc plus haut, sur l’épi grisonnant au-dessus de sa tête, causé par sa vertigineuse descente. Relevant les yeux sur le sujet de leur curiosité - qu’il ne pouvait évidemment pas voir - il se gratta la tête en un geste discret afin d’arranger sa coiffure, tout en remettant en place les verres grossissant en travers, tombés sur son nez. Il passa ses doigts boudinés aux ongles salis par la fouille de la terre dans sa barbe, d’un geste prétendument désinvolte. Il fallut bien trois personnes pour l’aider à lever ses cinq pieds “sans les cornes” ainsi que ses deux cent cinquante six livres “sans les cornes”, car le maître était connu pour sa gourmandise, et que son ventre bedonnant n’était point là pour en démentir. Ses sabots raclaient encore furieusement sur les dalles de marbre trop poli, glissaient alors qu’on l’aidait. Et Vitélius se mit à bêler de contrariété. Il manqua de faire tomber ses ouailles mais les remercia bien discrètement, lorsqu’il fut enfin levé, car la chose n’avait pas été aisée. Caractère “Fantastique !” L’exclamation se répercuta en écho au coeur de ce souterrain naissant. Il avait suffit de tirer sur un levier dissimulé entre des ronces pour que le mécanisme débloque la porte dont il avait fallu pousser un pan. L’enthousiasme naturel de Vitélius était palpable, comme à chaque fois qu’une découverte incroyable était faite. “Notez braves pupilles !” Le ton était affable et paternel. Les carnets furent donc sortis et les plumes assidues griffonnèrent ça et là des notes, des esquisses, des schémas de l’étude de ce fabuleux outil qui servait presque de serrure. “Là, regardez. Une goupille qui se soulève une fois le levier activé, et qui permet aux gonds d’être libérés pour que l’on puisse ouvrir de l’extérieur ! J’ai déjà vu cela quelque part. Cependant, pourquoi cette porte ne serait-elle pas composée d’une serrure classique ni protégée contre l’entrée d’intrus ?” Les yeux levés au-dessus de ses loupes binoculaires - car il ne s’en servait que pour écrire ou lire, il ne voyait pas les petits caractères - il interrogeait ses élèves consciencieux. “Monsieur, un bras se levait, couvert d’écailles reptiliennes, c’est parce qu’il s’agit d’un temple dédié aux Anciens ! - Bien. Mais quelle est l’explication rationnelle là-dessous ? - C’est parce qu’il ne s’agit pas d’une sépulture ou d’un lieu dans lequel des biens précieux pourraient être dissimulés volontairement. Les Eleär n’ont pas besoin de protéger les édifices sans richesses apparentes de tels artifices ! Encore moins les Temples que chaque Eleär respecte malgré lui. Il ne leur est donc pas nécessaire de les protéger ! - Bien mon petit. C’est très bien.“ Il fit une longue pause avant que tous n’entrent dans la première antichambre, armés de torches fraîchement allumées. Tous s’extasiaient sur ce qu’ils discernaient alors dans la pénombre, le maître le premier. Les statues, majestueuses, semblaient autant d’Elfes endormis, dans une sublime éternité. Les fresques étaient délabrées, mais certaines parcelles de couleur demeuraient vives et équivoques : il s’agissait de scènes de vie quotidienne dans les temples Eleär qui vinrent enchanter l’âme enfantine, avide de découverte, de l’archéologue. “Selon vous, quel âge pourrait avoir ce bâtiment ? - Au moins mille deux cent ans monsieur. - BOUGRE D’IDIOT !” Vitélius bêla de contrariété. Les autres Ordhaleron rirent pour une raison aisément compréhensible et à cause de ce bêlement intempestif. Le vieux tuteur était d’une patience divine, sauf en ce qui concernait ses domaines de prédilection et lorsqu’on lui donnait des réponses ridicules. “Monsieur, monsieur ! Un autre étudiant se manifesta. Au moins deux mille quatre cent ans ! En témoignent le style pictural et les vêtements portés ! - C’est évident, merci à toi. Krisg, où as-tu fait l’erreur ?” Il s’était tourné vers celui qui avait mal répondu. Tous rirent en coeur, sauf ce dernier. C’est Nostro qui répondit, un brin d’amertume dans le coeur. “Les Eleär ont été décimés ou chassés il y a près de mille six cent ans… D’où l’erreur de Krisg.” Le sourire satisfait de Vitélius étira sa barbe étoffée, ses yeux formèrent deux croissants bienveillants. Il aimait apprendre à des plus jeunes et même si ces derniers étaient bien âgés : il les considérait presque comme des enfants. D’autant que ces derniers avaient été élevés dans le respect des autres races, peu importait le mal qui avait été fait à leurs propres ancêtres, et condamnaient uniquement en cercle clos la brutalité de la Légion… Tout comme lui. Leur procession continuait, constamment étonnée, avide de nouveautés ou de découverte de secrets millénaires. Comme ses ouailles, l’Ordhaleron caprin ouvrait des yeux captivés sur chaque détail des peintures, sur chaque pierre cassée, sur chaque dalle fendue. L’étude des vestiges demeurait sa plus grande passion. Il tombèrent alors dans une autre salle, richement décorée, aux tapisseries dévastées dont les motifs qui subsistaient encore témoignait de la délicatesse des arts Eleär. “Nos autres étudiants viendront restaurer bénévolement ces vestiges. Par ailleurs, ceux qui veulent aussi s’inscrire aux cours d’Histoire de l’Art en plus de l’étude Archéologique et Architecturale devront se manifester auprès du Maître de chaire de notre centre d’études. En ce qui concerne les paiements vous savez qu’assister nos chercheurs vous permet de compenser tout ou partie, selon votre investissement, vos frais de scolarité !” Il ne fallait pas l’oublier… Il était aussi Trésorier. Inventaire Notre cher ami sortit alors de sa besace de lin épais son nécessaire : griffe de métal pour gratter la terre, truelle, tamis, pioche, pinceaux pour nettoyer délicatement les vestiges qu’il se permet de ramener, sachets de lin pour enfermer de précieux fragments de vestiges, carnet de notes, plume, encrier, buvard, vélin soigneusement roulé, mouchoir, gourde emplie de vin, gâteaux secs, fruits secs, noix, noisettes, amandes… La liste n’en finissait plus. Il y avait quelque chose de fantastique dans cette sacoche, c’est qu’elle semblait ne jamais se vider. Ce petit tour de passe-passe était dû à l’organisation irréprochable de notre vieil ami qui savait comment emboîter les choses de manière savante. Lorsqu’il eut déposé son matériel au sol, il en fit l’inventaire silencieux pour être certain d’avoir tout ce qu’il lui faudrait pour cette mission. Il secoua sa sempiternelle robe de coton crème un peu usée aux motifs brodés de fils d’un vert franc. Il n’aimait pas les choses trop voyantes et le seul agrément à sa tenue était une ceinture de cuir brun ouvragé à la boucle d’acier simple. Histoire Lorsque tout fut soigneusement inventorié, notre Ordhaleron fit un tour rapide de la pièce d’un regard. Il était bien nécessaire d’ôter la poussière de certaines fresques afin de pouvoir les reproduire le plus fidèlement possible sur les vélins de leurs carnets. Le travail leur prit des heures. Des heures pourtant, de minutie, sans qu’aucun ne se lasse d’épousseter de si infimes parcelles afin de leur rendre leur beauté d’antan. Il s’agissait évidemment des prémices d’une longue étude néanmoins, tous s’appliquaient avec soin. Lorsqu’apparut le premier carré, les regards furent ébahis. Se mettant au loin afin de mieux les contempler, les bas-reliefs éclairés par la torche révélaient alors leur splendeur. Un silence s’installa. Aucun n’osait alors bouger. La stupéfaction les avait pris, l’observation de la beauté pure les avait saisit. Il s’agissait d’un syndrome très connu par les étudiants et maîtres de cette université, qu’ils avaient nommé “Le syndrome d’Aradal”. L’on racontait qu’un jour, un Ordhaleron nommé Aradal, érudit émérite et proche d’un roi d’antan, avait découvert un temple Eleär de Sunaï et était tant stupéfait de ce qu’il avait vu, de sa beauté, qu’il n’avait pu bouger pendant de longs jours et semblait en proie à une mélancolie profonde. Si profonde, qu’il était finalement allé se perdre dans les méandres de ce temple et n’en était jamais revenu… Pourtant, Vitélius qui ne souhaitait pas relâcher sa vigilance frappa dans ses mains afin d’ordonner à ses ouailles de reproduire ce qu’ils voyaient. Certains talents étaient innés, d’autres plus ridicules. Pourtant et, malgré certaines esquisses catastrophiques de ses élèves, il souriait. “Mes chers petits, il est bientôt l’heure de partir. Nous reviendrons demain, et les jours suivants, afin de découvrir plus d’antichambres de cet édifice. Norma, as-tu mesuré les premières pièces et as-tu terminé tes plans ?” La créature aux yeux couleur de sang, qui ressemblait à s’y méprendre à un valdur, acquiesça. Les jours passèrent, l'étude se déroulait sans anicroche, puis vint enfin le moment de repartir, de rentrer de ce fabuleux voyage... Sur le chemin du retour, rires, discussions passionnées autour de l’art, de l’histoire des Elfes, des royautés du temps jadis, mais surtout à propos de ce temple. Les suppositions, les théories farfelues émises par les esprits encore chauds de cette découverte, s’affolaient. La seule chose qu’ils ne savaient pas, c’était que ce temple avait été depuis bien longtemps découvert par leurs ancêtres. Pourtant, le vieux caprin ne pipa mot à ce sujet, préférant entendre la motivation et l’extrême passion de ses pupilles. Personne à l’académie ne leur dirait jamais qu’était ce temple : il fallait bien qu’ils aient leur dose de bonheur, après tout ? N’était-il pas légitime de se sentir important ? Le temps passa, puis ils arrivèrent enfin à leur première étape. Un charmant petit village où rodait la Légion. Il n’était pas étonnant de voir leurs costumes horrifiants, leurs bannières et leurs armes et, en bons petits étudiants, aucun ne mentionna ce secret qui les entourait tous. La soirée passée, puis une journée de marche, encore. Nombre de fois, Vitélius dérapa sur des cailloux lissés par la rosée. Nombre de fois, la joyeuse petite troupe l’aidait à se relever. Il faisait bon vivre à Sunaï, contrairement à ce que le monde pensait. Après plusieurs jours de péripéties sans réelles encombres, tous rentraient enfin… Et Vitélius repartait chez lui, dans un petit village éloigné de la capitale. L’étude des ruines n’était point que pratique de l’esprit : l’endurance physique était aussi mise à l’épreuve et, alors qu’il s’apprêtait à rentrer dans sa demeure, las et terriblement épuisé, une créaturelle semblant faite d’or vint le percuter, il tomba au sol, quatre fers en l’air et robe relevée laissant percevoir son gros derrière couvert de fourrure. “ Bonjour, vous ne vous êtes pas fait mal au moins ?” Fut la seule chose qu’il put dire avant de se relever, déplorant le silence de cette furie dont il croisa le regard. La panique, la tristesse, la fuite... “N’ayez crainte ma jeune amie, malgré mon embonpoint, je ne vous mangerai pas ! Et puis, il me semble lire dans votre regard que vous ne seriez pas contre un peu d’aide, n’est-ce pas ?” Sans attendre de réponse, il se releva comme il put, sans une once de grâce, et lui tendit la main. “J’habite à deux pas, vous êtes maigre comme un clou… Vous ne pourrez pas courir longtemps dans cet état…” Puis la vie continua, mais il n’était plus vraiment seul. Il avait hérité d’une sorte de fille d’adoption, plutôt taciturne, mais qui parfois ne manquait pas de rire lorsqu’elle se déridait. Une relation de tuteur à élève, renforcée par une tendresse toute paternelle. Et il l’emmena partout, cette petite Ordhaleron qui ne parlait pas de ce qu’elle avait vécu. Ils bravèrent les tempêtes d’Alsvard, les navires qui les prenaient pour ennemis, ils foulèrent le désert des Mohars en quête de savoirs et de temples oubliés. Elle était son bras armé, car il fallait avouer que lui était bien piètre combattant, voire même incapable de se défendre, et lui l’épée de son esprit : il lui apprenait chaque jour de nouvelles choses à propos du passé des Ordhaleron, des Eleär ou même d’autres peuplades. C’est d’ailleurs à cette période qu’il perdit son cousin, Frekreth. Celui-ci était l’un des hommes les plus savants que comptaient les Ordhaleron mais, la haine des valduris à leur égard l’avait rattrapé, alors qu’il enseignait à une étudiante au coeur de Siltamyr. Une trace encore visible pour notre ami caprin qui en parle toujours avec un pincement au coeur. Cette vie d’épopées fantastiques fut hélas bien courte, car un jour, Shaëra repartit. Avec tristesse, Vitélius la laissa partir, espérant que sa vie future soit basée sur ce qu'il lui avait déjà appris : de ne jamais oublier sa quête de connaissance car connaître son passé permettait de ne pas reproduire les erreurs de ses ancêtres. C'est ce que son père lui-même lui avait enseigné, lorsqu'il lui avait transmis sa passion pour les arts Eleär qu'il avait étudié depuis plusieurs décennies. Puis la vie reprit son cours. Parfois tranquille et fluide, parfois empreinte d’intrigues politiques qui n’échappaient pas à Vitélius. Complots, machinations à l’encontre de la Légion, plans échoués… Il perdit parfois quelques amis. Pourtant, jamais encore sa sagacité et sa parole ne furent remises en doute. Jamais il ne fut pris sur le fait à manigancer, à aider encore et toujours ceux qui fuyaient Neya. Et dans sa loge, grand cercle des plus sages de ce monde, il avait de grands appuis. Divers Reconnaissez-vous être âgé d'au moins 18 ans ? : Voui Moultipass :*fouette le papy pour le mdp* Je laisse le soin à mon staff de me lire . xD Ici pépé Calim |